Manrèse était assis à la table longue dans l'auberge de l'Oiseau de feu au centre du village et travaillait à de nouvelles concotions afin de guérrir ces fameux poison qui ont fait du ravage à 3 de nos humbles aventuriers quand Frère Gaël s'approcha de son pas rapide que l'on reconnaissait quand il était offusqué et interrompit Manrèse en disant :
- ''Mon cher Manrèse voici un copie de L'Érudit que j'ai trouvé et ce qu'il dit à mon sujet est complétement éronné. Je me demande bien qui est ce fourbe qui écrit cela, car j'aimerais que vous puissiez corriger la situation au plus vite. Je vous dois beaucoup, vous m'avez offert un toit, vous me nourisser et vous me protéger, mais s'il vous plait, faites taire cette mauvaise langue, faites le pour votre humble serviteur.''
Manrèse qui regardait Frère Gaël avec la même intensité qu'il avait lui même dans son discours ne pu s'empêché de rire sans méchanceté suite aux dire de Frère Gaël.
- ''Haha, Frère Gaël, je me bourbinne de rire devant votre demande qui me paraît, ma foi, alertante. Cependant, je vous rassure en disant qu'il ne faut pas tout croire ce que les écrivains écrivent. Ils tiennent leurs sources parfois de bouches sâles et mal nourrit. Il prennent ces dires et les modèlent afin d'en faire des marteaux qui frappent les gens de dos, dans leurs points sensibles. C'est ce qu'il a tenté de faire avec vous afin de vous faire réagir. En plus, quand vous réagissez, il prend vos dires que vous craché hors de votre bouche sans les avoir tournées sept fois autour de votre langue et en profites pour remodeler d'autres marteaux pour vous envahir de paroles audieuses qui ne vous représentent pas du tout.''
Manrèse fit une pause en effaça tout sourire afin d'avoir un air plus sérieux et réconfortant.
- ''Ce que je vous propose mon cher Frère Gaël c'est d'oublier ces dires que vous avez lu dans l'Érudit, car les gens l'on probablement déjà oublié eux même et de vous servir de lui pour de bonne raison comme faire de la publicité pour l'auberge concernant nos offres aubaines ou faire l'annonce d'une fête future. Les gens qui vous côtoie savent très bien que vous ne prennez pas d'alcool et que vous n'êtes pas colérique envers eux. En ce qui me concerne, je vous remercie des gentillesses que vous avez dit à mon sujet, c'est très flatteur et j'en suis ravi. Tennez assoyez-vous ici et prenez ce bon thé tout frais venu de Keldor.''
Manrèse lui tira une chaise et lui versa une bonne tasse fumante et d'une odeur rassurante.