Prise d'otage dans les bois. (Suite)

Oui , c'est ça ... Répondit-elle au fils du chaos .

Le mauve c'est dans ma tête
- À quoi pense-tu , samouraï?...

....OROOOOoo!!!!



- Accroche toi Tsun... Aluka! Cria Oroshabi

Il regarda Aluka comme si ce n'était pas elle. Puis il se surpris à serrez sa main très fort comme s'il allais la perdre et que ça lui déchirait le cœur. Lâchant sa mains, il regarda Kalunn et lui fit signe de la tête que oui.

Kalunn fit un bond en arrière, puis se mis à genou. Il regarda ensuite Oroshabi et lui demanda:

*infernal*
- Laisse-moi régler un petit quelque chose avec elle et ensuite je te la laisse... Dit Kalunn tout en faisant un regard sadique. Du sang coulait de son menton, mais Kalunn n'y faisait pas trop attention, après tout, il aimait être couvert de sang...

N'attendant pas la réponse d'Oroshabi, Kalunn se pencha légèrement en direction d'Aluka...

Et voyant que Kalunn n'attendait pas sa réponse, Oroashabi ne répondit pas.

Il se posta positionna entre Aluka et Kalunn, le laissa quand même effectué ce qu'il voulais faire, mais étant très alerte à retirer Kalunn de là. Que manigançait-il...

La tête de Marcael lui faisait un mal de chien. Il leva sa tête et vit les arbres au dessus de lui un peu flou, mais assez visible pour distinguer une flèche plantée dans un nid de guêpes.

-"Alors ça, c'est vraiment pas malin..."

Il tourna sa tête vers la coline, mais la silhouette avait disparue. Il se disait que si quelqu'un aurait voulu le tuer, cette personne n'aurait probablement pas été assez stupide pour prendre le risque de manquer son tir, elle aurait voulue être plus proche de lui. Non, il il avait quelque chose d'autre...

Aluka se sentait de plus en plus engouffrée dans les vappes... Le lit était tellement confortable et elle se mot à douter de ce qu'elle disait et de ce qu'elle ne disait pas .
Qui...as-tu perdu humain? Qui te cause tant de souffrances?
Exploiter les points faibles, voila ce que sa mère lui avait enseigné .

Kalunn se pencha délicatement puis releva un peu son masque.

- Ça c'est pour mon cou... Dit-il avant de se pencher d'un coup.

Ses lèvres vinrent se coller à celles d'Aluka. Lentement, il commença à l'embrasser, tel deux amoureux qui s'aimait tendrement... Les mains de Kalunn caressait lentement le visage d'Aluka.

Oroshabi prit Kalunn par les épaule et vint pour le séparé, alors que...
Alors qu'il eu la plus grande surprise de sa journée.

- Kalunn?

Oroshabi l'enleva aussitôt qu'il repris ses esprits.

- Ho! Pas sûre qu'elle apprécierait! Reste à l'écart, petit pervers.

Puis, retirant Kalunn de Aluka, Oroshabi la regarda dans les yeux.

- Tu à aimé? Demanda t-il. Après tout, elle allait répondre la vérité.

Aluka se mit à tousser et à cracher du sang . Elle se tourna tant bien que mal face au sol pour ne pas se noyer dans son propre sang .
Bien joué Kaluun, pense-t'elle, avant de sombrer dans les vappes pour de bon, gémissant et grognant de douleur ...

Aluka avait été la ''konigun'' et avait appris beaucoup de choses durant son périple. Elle ne se pouvait pas de se laisser avoir comme ça. Alors, au moment où Kalunn sentit des mains sur ses épaules, il aspira la langue d' Aluka et croqua un bon coup...

C'est une giclé de sang qui accueillis la séparation des deux fils du chaos. Kalunn replaça son masque tout doucement tout en ricanant un peu...
*infernal*
- Hehehe

Marcael vit, en observant la flèche, vit qu'un parchemin y était attaché.

-"Tiens donc", dit-il.

Il ne perdit pas de temps et se mit aussitôt à grimper l'arbre, un pied après l'autre et une main après l'autre. Arrivé à la flèche, il l'arracha du nid et se laissa tombé pour atterir au sol. Le nid était vide, par chance. Il décrocha le parchemin, mais vit aussi la marque de son groupe gravée sur le bas de la pointe, un cercle avec deux lignes courbes s'opposantes, formant un "S".

En déroulant le parchemin, il lu le message. Marcael changea aussitôt d'air.

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(PARCHEMIN)

Maître a été assassiné par notre ennemi. Rendons-lui hômmage une dernière fois, à la prochaine pleine lune... 0 

(PARCHEMIN)

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Voyant ce que Kalunn avait fait, Oroshabi, qui le tenait déjà par les épaules, le leva debout et le tira jusqu'à l'arbre où il était préalablement enchaîné afin de lui remettre ses chaînes.

(7 de force seulement, j'attend de voir si ça fonctionne)

Marcael ne bougea pas, comme si il était figé dans le temps. Seul son visage semblait subitement s'emplit de rage et de tristesse profonde, puis, il tomba à genoux et pleura attrocement.

-"Tu devais t'attendre à ce que ça arrive, nous avons tous choisit une vie à risque", marmonat-il à répétition, tout en le bégueillant de tristesse.

Il sentait comme un vide l'envahir de l'intérieur. Il était comme dans un état de trans, il ne semblait plus résonner le moindre du monde...

(dans ma tête)"Dabord MON frère...ensuite MON maî...oncle... nous y passeront TOUS un jour, tel est LE CYCLE de la vie, il me disait. Un cercle infini, RAPPEL TOI les enseignement de ton oncle... le karma que les aomoriens appelaient... les tiens... le leur... le cycle éternel... une seule et même chose... ABAT les agents du chaos... JUSTICE sera rendu... pour tous... TU dois laisser CETTE RRRAGE t'envahir, comme la flamme CORROMPU DE CETTE ABOMINATION!!!... laisse TES INSTINCTS prendre le dessus... le côté ANIMAL, comme IL t'a enseigné... TON animal totem... quel était CET animal?... t'EN rappel TU?... laisse LE... pour une fois... LIBÈRE CETTE RAGE!!!"(dans ma tête)

Marcael se mit aussitôt à hurler de plusieurs cris bestiaux(des animaux de la forêt de toutes sortent, laissez allez votre imagination^^) d'égageants une tristesse profonde, si bien qu'il fit fuir quelques animaux l'entourant. Sa voix pouvait se faire entendre d'une assez bonne distance grâce à l'echos de la forêt. En même temps, il se mis à frapper de toute sa rage sur un rocher assez immense en face de lui, tellement fort qu'il ne se rendit pas compte qu'il souvrait les mains peu, à peu, à chaque fois qu'il assénait un coup, jusqu'à ce que ses lâmes se brisent en deux et qu'il se mit à frapper dans le vide, sans faire attention à se qui s'était produit. Sa rage se termina lorsqu'il s'affessa au sol, trop épuiser par la tristesse et la colère qui le rongeait, mais aussi par la douleur excessive de ses mains.

-"Cette rage...plus...jamais..."
Seul ces quelques mots s'échappèrent de sa bouche, avec la lettre ensanglantée dans l'une de ses mains...

Kalunn n'opposa aucune résistance à Oroshabi. Pas qu'il ne voulait pas, mais bien qu'il ne pouvait pas... Mais bon, il était fier de ce qu'il avait fait.

Tout en se faisant attaché, Kalunn regardait Aluka. Sa vengeance allait être grande...

Ayant terminé d'attaché Kalunn, Oroshabi se précipita vers Aluka et analysa sa blessure. Voyant que c'était pas trop grave, mais peu être nocif, il ce dit qu'il allait avoir besoin de Marcael pour l'aidé à la guérir. Marcael était partit, mais depuis peu. Peut être l’endenterait-il si il l'appelait en criant?
Mais il ne pouvait pas faire ça. C'était le meilleurs moyen d'attiré l'attention et de se faire éventuellement repérer par d'autre personne. Il allait donc être obligé de dévoiler sun autres de ses secrets bien gardé...

- (Murmure des bois)MARCAEL!!!!!!!(Murmure des bois)

Sachant que le murmure des bois pouvait parcourir de grande distance sans le moindre son perceptible pour ceux ne le comprenant pas, Oroshabi l'appela en murmure des bois, dévoilant ainsi à tout ceux assez proche qu'il comprenait et parlait cette langue.

Il ne voulait pas que personne le sache. Les gens l,employais parfois pour lui caché des choses, croyant qu'il ne comprenait pas, mais tant pis maintenant... Et si kalunn venait de rendre la langue d'Aluka inutilisable? Et si la blessure s'infectait? D'autant plus qu'Aluka ne pouvait pas être plus faible qu,elle l'était présentement, alors il ne pouvais pas prendre de chance.

Pendant que l'écho des bois s,afférait à transporté les murmures subtile du samouraï, Oroshabi regarda Kalunn et dégaina son arme, ce dirigeant vers lui à toute vitesse.

Kalunn regarda Oroshabi se retourner et... plus rien... Tout ce que le fils du chaos put entendre, c'est le son du vent dans les branches des arbres. Que faisait donc le Samouraï?

Puis, il le vit dégainer et se diriger vers lui. Kalunn pouvait bouger, mais pas assez pour éviter le coup... Était-ce la fin?

Plus Oroshabi approchait, et plus Kalunn laissa échapper un dernier rire sadique.

- mhmhmh ahahaha AHaHAHA AHAHAHHA!

Kalunn ne bougea pas d'un poil...

Aluka, comme l'avait promis Oroshabi, se sentait étrangement bien, outre la douleur engendrée par la morsure de Kaluun. Le gout du sang envahissait sa bouche, lui donnant encore davantage faim, mais elle était trop engourdie pour bouger . De toyte façon, pourquoi bouger ? , se dit-elle inscouciante, un léger sourire aux lèvres . Sa langue était enflée et il lui serait difficile d'articuler , mais elle s'en remettrait rapidement .

Oroshabi arriva sur Kalunn à toute vitesse en tendant le bras de toute ses forces.
(0 de dégât)

- Tu à fait ce qui était juste de faire et pour cela je ne t'en veux pas. J'aurais fait même choses et c'était à moi de prévoir ton action. Bien joué, pour cette fois ci.

Plus bas, on pouvais voir le paumeau de son arme accoté sur la taille de Kalunn. Il avait inversé sa poigne au dernier moment, pointant sa lame vers l'arrière.

Kalunn prit une inspiration au dernier moment et ferma les yeux. Il revit sa vie passer devant ses yeux, sa mère l'appeler dans ce champs de bataille remplis de cadavre, les batailles sans fin qui allait s'annoncer pour lui...
Mais rien ne se passa, aucune douleur, aucune sensation de partir de son corps, rien.

Mais qu'est-ce qu'il...

Il vit alors la lame pointer dans l'autre direction.

Il écouta attentivement ce que le Samouraï lui dit, puis lui répondit d'un simple rire.

- Hehehe... Elle pouvoir rien dire maintenant. Dit-il tout en regardant Aluka.

Marcael entendit une voix l'appeler, provenant du campement. Il ne savais pas à qui était cette voix. Ce n'était pas celle de Ellios, ça, il en était certain, ni celle de Loup Gris. Elle ne lui était pas familière, mais à y repenser, une seule personne du campement pourait et aurait intérêt à l'appeler en ce moment, une personne qui lui avait déjà caché qu'elle parlait infernal... Oroshabi.

Trop épuisé pour se relever, il se passa une main dans le visage, qui lui laissa une ligne de sang partant d'une oreille à une autre. On aurait dis une peinture faciale. En chutant, il était tombé le dos en premier sur une souche d'arbre coupée, par terre, probablement le résultat des fils du chaos, qui sait... Encore dans les vappes, complètement sonné et afaiblit par son chagrain...

-(murmure des bois)"... Marcael n'est plus disponible pour le moment, aillez l'aimabilité de laisser votre message..."(murmure des bois)

- On verra bien... Répondi t-il à Kalunn avant de se retourner vers Aluka et d'entendre la réponse de Marcael.

...Je reconnaît ta voix Marcael. L'heure n'est pas à la rigolade, vient avec tout ce que tu à qui peux guérir un membre ou une hémorragie. Fait vite!...

En attendant la réponse, Oroshabi souleva Aluka pour la mettre à genoux. Il la faisait boir de force ou non régulièrement afin qu'elle ne s'étouffe pas.

- Alors, tu à aimé ça ou non? Répond donc.

La potion de vérité avait l'air de faire effet à merveille.

En arrivant la ou ce trouvais les autres, il vit Marcael complètement sonné, les larmes aux yeux. Premièrement surpris et deuxièmement confus, il lui dit:

-Marcael!? Est-ce que ça va? Qu'est qui c'est passé?

Aluka pensa que la question du samouraï ne méritait pas son attention, mais au moment où elle se disait cela, sa tête hocha de haut en bas . Mouais agréable, mais quelque peu violent ... Donc très agréable . Perdue dans des pensées divaguantes , elle songea qu'un jour, elle le tuerait .

Marcael jeta le parchemin qu'il avait chifonné au visage de Ellios.

Sans la moindre émotion
-"Vous devez me ramener au campement, un esprit de la forêt me le demande"

Puis, Marcael pointa les morceau d'armes brisées de Marcael, signifiant à Ellios de l'aider à les ramener.

Bon, il était de nouveau à son point de départ... Mais bon, il était content de lui. Il s'assit donc parterre et se mit confortable, même si sa bosse dans l'arrière de son pantalon ne l'aidait pas...

Il regarda en l'air pour voir s'il apercevrait le corbeau. aucun signe de lui, pour l'instant...